Le Burkina Faso, pays des Hommes intègres, célèbre chaque 11 décembre sa fête d’indépendance, commémorant l’accession du pays à la souveraineté nationale en 1960. Cette journée symbolique est l’occasion pour les Burkinabè de se rappeler leur histoire, de célébrer leur identité culturelle et de renforcer le sentiment d’unité nationale.

Un peu d’histoire

Le Burkina Faso, alors connu sous le nom de Haute-Volta, faisait partie de l’empire colonial français en Afrique de l’Ouest. Après des décennies de lutte pour l’autonomie politique et la participation à la vie administrative, le pays obtint son indépendance le 11 décembre 1960. Monsieur Maurice Yaméogo devint le premier président de la jeune nation, marquant le début d’une ère de défis politiques, économiques et sociaux.

Une fête populaire et fédératrice

La fête d’indépendance est célébrée dans tout le pays avec des cérémonies officielles, notamment :

• Le défilé militaire à Ouagadougou, qui met en avant les forces armées, la gendarmerie, ainsi que les écoles et associations locales ;
• Les discours officiels, prononcés par le Président de la république et/ou d’autres personnalités politiques, rappelant l’histoire et les valeurs nationales ;
• Les manifestations culturelles, telles que danses traditionnelles, spectacles de musique et expositions artisanales, qui célèbrent la richesse culturelle burkinabè.

Au-delà des cérémonies officielles, la population participe activement à cette fête par des rassemblements familiaux, des concerts et des activités sportives. C’est un moment où les Burkinabè se retrouvent pour partager des valeurs communes et réaffirmer leur attachement à la nation.

Signification et enjeux contemporains

Aujourd’hui, la fête d’indépendance du Burkina Faso va au-delà de la simple commémoration historique. Elle représente un appel à l’unité nationale, un rappel des luttes passées et une invitation à bâtir un avenir de paix et de développement pour le pays. Dans un contexte de défis socio-économiques et sécuritaires, cette journée demeure un symbole d’espoir et de résilience pour tous les citoyens.

La fête d’indépendance du Burkina Faso est bien plus qu’un jour férié. C’est une célébration de l’histoire, de la culture et de l’identité nationale. Chaque 11 décembre, les Burkinabè, fiers de leur héritage, réaffirment leur volonté de construire ensemble un Burkina Faso uni, libre et prospère.

CAFRAD et Burkina Faso : une relation solide et un partenariat exemplaire

Le CAFRAD et le Burkina Faso entretiennent une relation historique fondée sur la coopération, la confiance et l’engagement commun en faveur du renforcement de la gouvernance publique en Afrique. Depuis plusieurs décennies, le Burkina Faso participe activement aux programmes, formations et initiatives stratégiques du Centre, contribuant à enrichir les échanges d’expertise et à renforcer les capacités des cadres et institutions publiques burkinabè. Cette collaboration continue a permis de consolider un partenariat exemplaire, marqué par un dialogue constant, des projets conjoints et une vision partagée du développement administratif et de la modernisation des services publics. Aujourd’hui encore, le CAFRAD réaffirme son attachement à ce lien privilégié et se tient aux côtés du Burkina Faso pour accompagner ses efforts de transformation, d’innovation et de construction d’une gouvernance efficace et durable.

Le CAFRAD félicite le Burkina Faso à l’occasion de sa fête d’indépendance et réaffirme son partenariat

À l’occasion de la célébration de la fête d’indépendance du Burkina Faso, le CAFRAD adresse ses chaleureuses félicitations au Gouvernement et au peuple burkinabè. Cette commémoration, hautement symbolique, rappelle la détermination, la résilience et l’engagement du Burkina Faso en faveur de la souveraineté nationale, du développement et du progrès social. Le CAFRAD saisit cette occasion pour réaffirmer son attachement aux valeurs de solidarité africaine et son engagement à poursuivre, aux côtés du Burkina Faso, les efforts visant à renforcer la gouvernance publique, la coopération régionale et la transformation des administrations au service d’un avenir prospère pour l’ensemble du continent.